Frimer tu feras, fessé tu seras

Catégories : Hommes fessés
il y a 7 ans

En 1952, c’était la première fois que je partais en colonie de vacances car Maman allait nous donner un petit frère ou une petite sœur. Mes sœurs, quant à elles, avaient été envoyées dans la famille en Vendée.

La colonie était organisée par les « Cœurs vaillants » dont je fréquentais le patronage depuis plusieurs années. Elle se trouvait à Monistrol-sur-Loire et Josiane, une monitrice du patronage qui faisait partie de l’encadrement, proposa à Maman fatiguée par sa grossesse de préparer mes affaires. Elle m’avait bien donné quelques fessées lorsque j’étais plus jeune, mais elle était très gentille et m’aimait bien.

Nous devions emporter, outre les sous-vêtements, les objets de toilette et les « habits du dimanche » pour aller à la messe, des chemisettes blanches et des shorts en toile bleu-marine pour les garçons (et les miens étaient très mais vraiment très courts !) ou des bloomers également bleu-marine pour les filles et, bien sûr, un maillot de bain et des sandalettes. Ah ces fameux maillots de bain ridicules en laine qui irritaient la peau !

J’étais tout excité à l’idée de partir et de prendre pour la première fois le train, ce bon vieux train à vapeur, et de profiter des baignades et des excursions alléchantes dans cette région !

Papa m’accompagna à la gare avec la 4CV familiale, dont il n’était pas peu fier car c’était sa première voiture. Il me confia à Josiane qu’il connaissait en lui donnant un conseil qui me fit rougir :

« Par moments, il est épouvantable, alors n’hésitez pas à lui donner une bonne déculottée ! »

A quoi, Josiane répondit en riant :

« Je sais, je le connais et n’ayez crainte, j’ai de l’expérience avec mes petits frères ! »

Les parents dirent au revoir aux e n f a n t s, moment émouvant d’embrassades et de recommandations.

Durant le voyage, nous n’avions pas le droit de descendre du train aux arrêts en gare et l’abbé nous avait prévenus :

« Je vous préviens, gare à celui qui descend ! C’est la fessée assurée ! Je ne tiens pas à laisser un e n f a n t seul dans une gare. »

Les moniteurs nous surveillaient, mais malgré ça, durant le voyage, deux garçons et une fille s’échappèrent pour acheter des bonbons et reçurent leur fessée. A l’époque, c’était naturel de recevoir une fessée en colonie comme à l’école.

Je me souviens bien des fessées de la colo, toujours déculottées ! Elles pouvaient tomber aussi bien pendant les sorties devant tout le groupe ou au dortoir, la culotte de pyjama baissée aux mollets. Elles n’étaient en général pas bien méchantes et on comptait plus sur la honte que sur la douleur pour faire s’amender le fautif, et aux premiers pleurs, elle cessait.

La colonie regroupait une bonne soixantaine de gamins, garçons et filles, de 12 à 15 ans. Les activités étaient communes mais nous logions dans des bâtiments séparés. Nos journées étaient bien remplies : promenades à vélo, jeux dans les bois, baignade et sports divers occupaient nos journées quand il faisait beau, réservant jeux de cartes et de société pour les jours de pluie. Le soir, nous participions plusieurs fois par semaine à des veillées. Nous avons aussi fait quelques excursions en car, entre autres : visite d’un château hanté et pèlerinage au Puy-en-Velay. Et, cerise sur le gâteau, la cuisinière était un vrai cordon bleu !

Pour moi, garçon de presque 13 ans, c’était merveilleux et j’en garde un très bon souvenir bien que j’aie failli me faire renvoyer parce que je n’avais pas voulu respecter les règles de baignade.

J’avais appris à nager à 6 ans en Bretagne où ma grand-mère avait une maison face a la mer. Mais à l’époque, peu d’e n f a n t s savaient nager et nous devions nous baigner dans la Loire derrière un filet de protection. Mais un jour, voulant épater mes copains – en fait surtout frimer devant les copines – et leur montrer que j’étais un bon nageur, je passais sous le filet.

Sourd aux cris de rappel des moniteurs, j’entrepris de traverser le fleuve, bravant trous d’eau et tourbillons. Je ne m’étais pas rendu compte tout de suite de leur inquiétude mais, au retour, je pris conscience de ma bêtise et je me doutais bien que j’étais bon pour la fessée. En effet tous les monos m’attendaient, ils me firent me rhabiller sur-le-champ et deux d’entre-eux me ramenèrent à la colo.

Je vous fais grâce de l’avalanche de reproches dont j’ai été gratifié pendant le trajet blâmant mon inconscience et me conseillant de me préparer pour la sévère correction que l’abbé ne manquerait pas de me donner. Arrivés à la colo, nous nous rendîmes immédiatement à son bureau situé dans le bâtiment des filles.

Lorsqu’il eut connaissance de mon imprudence et de ma désobéissance, il devint furieux. Et bien que j’aie reconnu mes fautes, il m’annonça rouge de colère qu’il me renvoyait de la colonie. J’attendrais au cachot, au pain sec et à l’eau, que mes parents viennent me chercher.

En fait de cachot, c’était une petite pièce dont on avait fermé les volets et en plus du pain, je reçus du fromage et un fruit.

Inutile de vous dire que j’étais très inquiet de la réaction de mes parents et je me mis à pleurer en pensant aux fessées que je pouvais m’attendre à recevoir. Je m’endormis enfin mais pas d’un bon sommeil.

Le lendemain matin, je fus réveillé par Josiane qui m’apporta la « bonne » nouvelle : en raison de la grossesse avancée de ma mère, le directeur avait consenti à me garder mais, avec l’accord de mon père, j’allais recevoir une correction dont me souviendrais. L’abbé expliquerait à toute la colonie sa décision au lever des couleurs.

Devant toute la colonie rassemblée, les couleurs hissées, le directeur déclara :

« Vous avez tous été témoins de l’imprudence de Jean-Marie doublée d’un refus d’obéissance caractérisé. La punition normale eut été le renvoi de la colonie mais comme sa maman doit donner naissance à un bébé de façon imminente, j’ai consenti à le garder parmi nous. Nous avons convenu avec son père qu’il recevrait ce soir une sévère fessée à la main et demain soir une nouvelle fessée, mais celle-là au martinet. En attendant il restera au cachot et pourra réintégrer son groupe après sa punition. C’est une première, nous n’avons pas de martinet mais je pense que ce n’est pas un investissement inutile à voir la façon dont certains d’entre vous se comportent. Tenez le vous pour dit ! »

En me raccompagnant au « cachot », Josiane me fit la morale et me dit que l’abbé voulait que je m’excuse et que je reconnaisse que j’avais mérité ma fessée et elle ajouta :

« Quand tu rejoindras ton groupe, tu me promets d’être gentil. Tu as d’ailleurs intérêt si tu veux revenir l’année prochaine ! »

Avant de me quitter et de fermer la porte à clé, elle m’embrassa et me souhaita « bon courage pour ta fessée ».

Je ne vous dis pas l’horrible journée que j’ai passée tout seul dans le noir, pensant à ce qui m’attendait. Qu’elle fut longue cette journée à ruminer ma punition à venir ! Elle fut juste entrecoupée par la visite de la cuisinière qui m’apporta mes maigres repas sans dire un seul mot. Enfin, une monitrice, Nathalie, vint me chercher pour me conduire au bureau du directeur. C’est titubant et avec la peur au ventre que je la suivis.

L’abbé, assis derrière son bureau avec son air des mauvais jours et Véronique, une autre monitrice, assise en face à lui, nous attendaient. Il m’ordonna sèchement de me déshabiller et de poser mes affaires sur une chaise. Quelle honte d’avoir à me mettre tout nu devant ces deux jeunes filles que je ne connaissais que vaguement. Je tentais bien de cacher mes attributs, mais l’abbé m’ordonna sèchement de mettre mes mains sur la tête en précisant :

« On sait tous ici comment est fait un gamin comme toi ! »

Il fit un signe de tête à Véronique qui m’attira à elle en m’annonçant :

« C’est moi qui vais te donner ta première fessée et Nathalie prendra ensuite le relais. »

Elle était en short et je me retrouvai en travers de ses genoux, mon ventre nu au contact de ses cuisses nues. Elle me bloqua par la taille et la fessée commença, d’abord doucement puis à un rythme rapide. Très vite je me mis à crier tant mes fesses blanches qui n’avaient pas connu le soleil me cuisaient.

A la fin de la fessée, un besoin urgent me prit et je demandai à aller aux toilettes. La permission me fut accordée, chaperonné par Nathalie, mais pas question de me rhabiller. J’espérai ne rencontrer personne mais nous avons croisé un essaim de filles en chemise de nuit qui revenaient des douches. Je cachai mon intimité, mais toutes purent admirer mes fesses et mes cuisses écarlates J’en entendis une pouffer en s’exclamant :

« Il a un joli petit cul bien rond, ce gars ! »

C’était vrai car à l’époque, j’avais des fesses plutôt grassouillettes !

J’eus bien en retour la vue sur des petits croissants de lune qui dépassaient de chemises de nuit trop courtes, mais je n’étais vraiment pas en état de savourer le spectacle.

Dès notre retour dans le bureau, les choses allèrent plus vite que je ne l’aurais souhaité : Nathalie s’assit, m’attira en travers de ses cuisses et après m’avoir bloqué, se mit à me tambouriner les fesses méthodiquement et à un rythme soutenu. Comment cette toute jeune fille pouvait-elle être une fesseuse aussi redoutable ?

Un moment, je me suis surpris à plaindre ses petites sœurs sur lesquelles avait dû se faire la main. Ce fut affreux ! Sous les claquées, je poussais des cris de goret qu’on égorge et, oubliant toute pudeur, je gigotais comme un beau diable dévoilant ainsi toute mon intimité par devant comme par derrière. Entre deux s a n g lots, je suppliais, j’implorais leur pitié… en vain. Au contraire mes supplications semblaient donner du tonus à Nathalie qui me claquait de plus belle. Ma croupe n’était plus qu’un brasier des reins au haut des cuisses. Cela faisait une éternité que l’on me fessait sévèrement quand soudain, je ne sentis plus la douleur et j’éprouvais même un certain plaisir et une certaine jouissance à la chaleur de mes fesses.

Quand l’abbé estima que j’avais eu mon compte, il demanda à Nathalie de cesser. Je restais un moment inerte sur les genoux de ma tourmenteuse qui, devenant maternelle, me caressait les fesses.

Les monitrices n’étaient pas mauvaises, mais il faut reconnaître que j’avais nargué tout le monde ce qui avait rendu les adultes furieux après moi. Nathalie et Véronique durent me soutenir en me reconduisant à mon cachot. Là je m’affalai sur le lit et m’endormis d’épuisement. Je dormis presque 24 heures, sur le ventre bien sûr ! Je commençai à émerger quand vint l’heure de la fessée au martinet.

C’est la gentille Josiane qui vint me chercher et qui me dit, espérant me détendre :

« C’est moi qui ai choisi le martinet, j’espère qu’il n’est pas trop féroce ! »

Hélas, féroce il l’était comme j’ai pu me constater.

L’abbé, après m’avoir fait ôter ma culotte et mon slip et remonter ma chemisette pour bien dégager les reins, me fit me plier à l’horizontale. Il m’envoya ensuite à la volée 50 cinglades de martinet que je devais compter. Je réussis à compter les premières entre deux s a n g lots mais à la seizième, il eut pitié de moi et chargea Josiane de compter à ma place. A la fin je ne sentais plus la douleur mais ma croupe fut de nouveau un véritable brasier.

Dès que Josiane m’eut raccompagné au cachot, je m’affalai à nouveau sur le lit et redormis encore presque 24 heures.

Le lendemain soir, j’eus l’autorisation de rejoindre mon groupe et de dîner avec les copains.

Durant le restant du séjour, j’étais dans un grand calme, tout le monde constata que j’avais changé et que je regrettais mon comportement. Et à part ces deux fessées méritées dont je me souviens encore, je passais de très bonnes vacances dans cette colo.

Jean-Marie

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